17 Mar 2009 / Communiqués Financiers
Chiffre d’affaires 2008 : 32,2 M€, Résultat opérationnel courant : 2,5 M€
Boulogne-Billancourt, le 17 mars 2009
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En M€ |
S1 2008 |
S2 2008 |
2008 |
2007 |
Var % |
|
Chiffre d’affaires consolidé |
15,14 |
17,04 |
32,18 |
32,54 |
-1% |
|
Dont « Edition de logiciels » |
11,11 |
13,22 |
24,33 |
24,94 |
-2% |
|
Dont « Global Services » |
4,03 |
3,82 |
7,85 |
7,60 |
+3% |
|
Résultat opérationnel courant |
-0,13 |
2,65 |
2,52 |
2,75 |
-8% |
|
En % du CA |
-1% |
16% |
7,8% |
8,5% |
Na |
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Dont «Edition de logiciels» |
0,25 |
2,78 |
3,03 |
2,87 |
+6% |
|
Dont «Global services» |
-0,38 |
-0,13 |
(0,51) |
(0,12) |
Na |
|
Résultat opérationnel |
-0,14 |
2,01 |
1,87 |
2,60 |
-28% |
|
Résultat net part du groupe |
-0,06 |
1,27 |
1,21 |
1,77 |
-32% |
|
En % du CA |
0% |
4% |
3,8% |
5,4% |
Na |
|
Résultat Net par action |
-0,01 |
0,23 |
0,22 |
0,31 |
-32% |
|
Flux de Trésorerie générés par l’activité |
2,86 |
0,56 |
3,42 |
4,90 |
-30% |
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Fonds propres |
16,17 |
17,41 |
17,41 |
17,03 |
+2% |
|
Dettes financières |
0,61 |
0,54 |
0,54 |
0,64 |
-16% |
|
Trésorerie disponible |
3,28 |
2,13 |
2,13 |
3,15 |
-32% |
Bonne résistance du résultat opérationnel courant
Coheris a enregistré sur 2008 un chiffre d’affaires de 32,18 M€, en baisse de 1% par rapport à 2007. Après un premier semestre en retrait, le résultat opérationnel courant s’établit sur l’ensemble de l’année à 2,52 M€ (7,8% du chiffre d’affaires) contre 2,75 M€ en 2007. Sur le deuxième semestre, le bon niveau d’activité permet de dégager une marge opérationnelle courante de 16%.
Après dépréciation de l’écart d’acquisition de la filiale anglaise (0,6 M€), particulièrement impactée par la crise financière qui touche ses clients du secteur bancaire à Londres, le résultat opérationnel du groupe ressort à 1,87 M€ contre 2,60 M€ en 2007. Le Résultat net part du groupe s’élève à 1,21 M€ soit un Résultat net par action de 0,22 €.
Le pôle édition de logiciels en baisse de 2% sur l’ensemble de l’année, affiche, grâce à un excellent niveau d’activité sur le second semestre, une bonne rentabilité opérationnelle courante de 12,4% sur l’année et de 21% sur le second semestre.
Le pôle Global Services, en progression de 3% sur l’ensemble de l’année, a davantage souffert du retournement de la conjoncture sur le deuxième semestre et affiche une perte opérationnelle de 0,51 M€.
Au 31 décembre 2008, Coheris affiche une structure financière saine avec 17,41 M€ de fonds propres, une trésorerie nette de 1,5 M€ et un endettement financier quasi nul.
Perspectives
En 2009, dans un contexte économique qui reste très incertain, la société se montre confiante dans sa capacité à renouer avec la croissance. Sa base installée de 1200 clients actifs, la qualité reconnue de ses produits, les perspectives de développement des ventes indirectes et le niveau élevé de récurrence de son activité doivent permettre à la société d’atteindre des objectifs de croissance de son chiffre d’affaires et de sa marge opérationnelle.
Edition de logiciels
La stratégie menée avec succès depuis plusieurs exercices sur le pôle édition de logiciels se poursuivra en 2009 avec :
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Une accélération des synergies et des ventes croisées entre ses gammes de logiciels (CRM, Business Intelligence, datamining) ;
-
La poursuite du développement de sa politique des ventes indirectes et des partenariats avec des intégrateurs et distributeurs afin de développer les ventes de licences et de maintenance ;
-
Le maintien d’un niveau élevé d’investissement en R&D ;
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Un niveau de récurrence élevé sur ses revenus de maintenance, de licences et de services associés qui permet, malgré un contexte économique dégradé, de maintenir un bon niveau de visibilité et de marge.
Global Services
Après avoir adapté la structure à son niveau d’activité sur la fin de l’exercice 2008, la stratégie consiste à renforcer l’offre sur des technologies pointues et à capitaliser sur ses principaux référencements pour développer cette activité qui ne devrait plus afficher de pertes en 2009.
Une opération de restructuration du capital reste toujours envisagée bien que le contexte économique et financier ne s’y prête pas.